Devoir de mémoire
Title: Legion Etrangere - Marche Du 1Er Commando
Quel est cet orage qui gronde
Quel est ce signe dans le ciel
Est-ce la fin de notre monde
L'apocalypse qui nous réveille
Ce sont nos frères nos camarades
Qui chantent ensemble et en cadence
Le grand requiem de parade
Du Premier Commando de France.
C'est la grande marche virile
C'est la grande marche du sang
C'est le grand rythme des chœurs d'hommes
O commandos
C'est la grande marche virile des commandos
C'est la grande marche du sang des commandos
C'est le grand rythme des chœurs d'hommes
Que les femmes, ah les femmes
N'entendent jamais, commandos
Que les femmes, ah les femmes
N'entendent jamais
C'est du sang nouveau, comme du vin nouveau
Mais pas pour les lèvres des femmes.
Ils ont vaincu sous un ciel noir
Mais ils n'ont pas pleuré leurs morts
Car dans l'amour de la victoire
Ils se sont relevés plus forts
Ils ont servi sur leurs tombeaux
Une Patrie que leur vaillance
Fera plus nette que les couteaux
Du Premier Commando de France.
C'est la grande marche virile
C'est la grande marche du sang
C'est le grand rythme des chœurs d'hommes
O commandos
C'est la grande marche virile des commandos
C'est la grande marche du sang des commandos
C'est le grand rythme des chœurs d'hommes
Que les femmes, ah les femmes
N'entendent jamais, commandos
Que les femmes, ah les femmes
N'entendent jamais
C'est du sang nouveau, comme du vin nouveau
Mais pas pour les lèvres des femmes.
Un jour on les verra combattre
Ils auront chaud, ils seront purs
Ainsi ils marchent volontaires
Vers la mitraille sans murmure
Et sans murmure dans la souffrance
Pour mieux entendre au loin les cris
Echos des morts des ennemis
Du Premier Commando de France.
C'est la grande marche virile
C'est la grande marche du sang
C'est le grand rythme des chœurs d'hommes
O commandos
C'est la grande marche virile des commandos
C'est la grande marche du sang des commandos
C'est le grand rythme des chœurs d'hommes
Que les femmes, ah les femmes
N'entendent jamais, commandos
Que les femmes, ah les femmes
N'entendent jamais
C'est du sang nouveau, comme du vin nouveau
Mais pas pour les lèvres des femmes.